Najia, Ou LApprentissage De LAdultère (4Ème Partie)
Mon histoire avec Mouloud, Mohand et Raîssa dura longtemps. Nous nous voyions souvent chaque vendredi avec le couple Algéro-ukrainien, et deux à trois fois par semaine avec Mouloud, qui me rejoignait à la maison, en début daprès-midi et en repartait avant larrivée de Rachid, mon mari et nous faisions lamour avec un plaisir et un enthousiasme, toujours renouvelés. Les trois avaient été pour moi des partenaires déterminants dans mon évolution en matière de sexe libre et dérotisme débridé y compris Raîssa qui mavait initiée à la bisexualité et aux plaisirs saphiques. Avec elle, javais découvert, et adoré, le corps dune femme et les magnifiques plaisirs quil pouvait offrir à une autre femme impatiente dexplorer les moindres recoins de la sexualité. Elle avait été pour moi, une bénédiction : non seulement cétait une superbe plante, mais, en plus, elle avait une vraie science de son corps, dont elle se servait comme une véritable experte pour donner du plaisir à ses partenaires, masculins et/ou féminins. Et les deux avaient été nombreux, depuis les cinq années que le couple quelle formait avec Mohand, sétait installé en Algérie.
Pendant toute cette période, il me semblait avoir fait le tour de tout ce que lérotisme pouvait moffrir. Et je pensais même être devenue une sorte de dexperte dans lart de donner et de prendre du plaisir; dexciter au-delà du supportable, de me faire désirer, de faire languir mes partenaires, de faire monter leur plaisir et de les faire pâmer. Les maîtres que javais eus avaient été vraiment à la hauteur. Tous les trois - auxquels, il faut bien entendu ajouter Rachid, mon mari, qui non seulement mavait mis sur les rails de ladultère, mais mavait aussi encouragée au-delà de limaginable - mavaient appris à naccorder dimportance quà mes seules envies et fantasmes. Et, aussi et surtout, à ne pas me laisser emprisonnée par lordre moral et religieux ambiant et à nobéir quà un seul Dieu : Eros !
Discrètement, bien entendu ! Car la société dans laquelle nous vivions ne tolérait aucun écart, par rapport au rigorisme moral et religieux dans lequel elle baignait.
Rachid navait encore jamais participé directement à mes ébats avec mes amants. Il ny avait même jamais assisté. Il navait encore jamais fait montre dune envie exacerbée dêtre présent auprès de moi, au moment où je me faisais tirer par mes amants. Parfois, en écoutant le récit que je lui faisais de tout ce que javais vécu avec mes partenaires et de ce que jen avais ressenti comme félicité, plaisir et même douleur, il me disait quil aurait adoré voir ça. Mais, jusquà maintenant cela navait jamais été plus loin. A aucun moment par exemple, il navait émis le vu de participer à mes ébats avec un ou plusieurs de mes amants. Je ne savais dailleurs pas, si dans ses fantasmes de candauliste, figurait le fait de participer aux ébats de son épouse avec ses partenaires de lit.
Et en y réfléchissant, je pensais que non. Ce quil semblait apprécier plus que tout, cétait que je lui racontasse en détail ce que moi et mon, ou mes, partenaires avions vécu dans laprès midi, ou parfois la nuit précédente. Il adorait que je lui décrive toutes les sensations que javais ressenties avant, pendant et après que je me faisais tirer, ainsi que les jouissances et les orgasmes que javais eus.
Mais ce quil adorait par-dessus tout, et quil attendait avec une impatience d sur le point de découvrir son cadeau, cétait de contempler les traces de souillures que je gardais sur moi. Il les reniflait, les léchait fiévreusement et les avalait avec une gourmandise non feinte. Ce qui me surprenait toujours, cétait surtout la manière dont il reniflait tout mon corps, y compris mes parties les plus intimes, qui étaient le plus remplies de foutre: on aurait dit un bouc en rut, qui reniflait, en béguetant, le cul dune chèvre en chaleur, quil sapprêtait à monter.
Et à chaque fois, il me faisait lamour, avec la fougue et la puissance dun taureau, en jouissant bruyamment et en éjaculant abondamment en moi et sur moi. Il était réellement heureux ! Et à chaque fois, cela métonnait quil bandât aussi fort. Avant que nous entrions dans cette histoire de cocufiage, je navais encore jamais vu son manche avec une pareille érection : il semblait même avoir pris du volume et de la rigidité. Pour utiliser une formule scabreuse, je dirais quen ces moments là, il bandait comme un âne en rut. Et moi, qui avait auparavant, pris plus que mon compte de plaisir avec mon ou mes amants, je me remettais à avoir envie dêtre tirée par ce nouvel amant. Et à chaque fois, je jouissais très fort.
Mon mari métait réellement reconnaissant de réveiller en lui le désir intense de me faire lamour comme une brute et de se découvrir des talents de « tireur », quil pensait navoir jamais eus. Il était même fier de lui. Le fait quil fallait que je le cocufie pour quil en arrive là, nenlevait rien à cette fierté et nentrait pas en ligne de compte.
- Am thegragh dheg khozidh-im allama chergher-amth! En-nikek men ga3-rek hetta en-kessarhou-lek! (Je vais te le mettre dans le cul, jusquà te le déchirer! Je vais te niquer par le cul jusquà te le détruire !)
Et le plus souvent, il menculait en force ! Et malgré que la voie fût maintenant très ouverte, il lui arrivait encore de me faire mal ! Et il y prenait un plaisir fou ! Et il me le criait ! Il se comparait à mes amants et se sentait à leur hauteur ! Et dans ces moments-là, je le trouvais à la hauteur ! Au fur et à mesure que le temps passait et que mon aventure adultère durait, je découvrais un mari de plus en plus épanoui sexuellement et qui prenait de plus en plus dassurance en ses capacités de mâle. Lui et moi, navions trouvé que du bonheur dans cette histoire dadultère assumée, qui, si elle venait à être découverte, scandaliserait la société toute entière et la ferait frémir de dégoût. Alors que nous, nous en étions très fiers !
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Les choses continuèrent ainsi pendant près dune année, avant que ne débarque chez nous un couple vraiment improbable : Horia, la sur de Rachid, une belle plante kabyle dune quarantaine dannées, installée depuis des lustres en France (à Toulouse, dans les Pyrénées) et qui était devenue française par le mariage.
Elle avait un caractère bien trempé et un tempérament de feu. Cétait elle qui avait décidé de venir passer au printemps une quinzaine de jours de vacances pour se retremper dans ses souvenirs denfance et de jeunesse. Elle nétait pas revenue au pays depuis une quinzaine dannées et la nostalgie avait finie par la rattr. Cétait une femme sportive, joviale et volontaire. Toujours prête à vivre une belle aventure, si elle venait à se présenter à elle. Et ce qui ne gâchait rien, cétait une vraie belle femme : blonde, mince, avec de petits yeux très clairs (dun bleu indéfinissable) et pétillant de malice. Un nez de Kabyle, un peu trop long, et une immense bouche entourée de belles lèvres ourlées, souvrant sur les plus belles quenottes quil métait arrivé dadmirer. Des quenottes de carnassière, prêtes à croquer tout ce qui passait devant elles. Dévidence, cétait une femme qui aimait les plaisirs de la vie. Et parmi eux je lappris assez rapidement les plaisirs érotiques.
Quand le couple débarqua - cétait un jeudi en début après-midi jétais seule à la maison avec Mouloud. Nous nen étions encore quaux prémices de nos jeux érotiques et nétions pas passés aux choses sérieuses. Quand la sonnette de la porte dentrée vibra, Mouloud était entrain de me caresser la chatte et de chauffer à blanc. Nous étions prêts à passer à létape suivante : une pénétration à la hussarde et en position de levrette, que lui et moi adorions particulièrement. La sonnette nous fit sursauter. Ni lui, ni moi ne nous attendions à recevoir qui que ce soit, ce jour-là. Cela ne pouvait pas être Rachid, qui par convention tacite avec nous, ne revenait à la maison quen fin daprès-midi, quand mon amant était déjà parti. Il était certainement au courant de larrivée de sa sur, mais pour je ne sais quelle raison, il avait omis de men parler. Jétais donc très étonnée de la voir débarquer ainsi, sans crier gare.
Je connaissais lexistence de cette belle-sur (lunique sur de mon mari), dont il me racontait souvent les frasques et le comportement damazone dans son pays dadoption, mais je ne lavais encore jamais vue. Quand je me suis mariée avec Rachid, elle était déjà en France et y poursuivait des études, en vivant chez une tante maternelle. Je lavais vue dans des photos, quelle envoyait souvent à son frère (des photos, parfois à la limite de la décence) et je la reconnus immédiatement en ouvrant la porte. Même si elle avait les traits fatigués - un voyage harassant, avec plus de trois heures de retard ! - je la trouvais très belle. Et que dire de lhomme qui était derrière elle, et qui trainait deux grandes valises à roulettes : Apollon ! Blond, yeux bleus, très grand, mince, épaules larges, taille fine, hanches étroites, jambes longues : un vrai acteur américain ! (Comme aimait dire feue ma mère, quand elle parlait dun homme dune grande beauté).
Ma description peut paraître exagérée ou même artificielle. Mais en le voyant, jeus vraiment la sensation de me trouver en face dun top model masculin ; un de ceux qui font les pubs pour les marques de parfums pour hommes ou pour de grandes marques daprès-rasage. La même beauté et la même élégance. Parce quen plus, il était élégant : de cette élégance très raffinée, à force de paraître négligée. Une barbe de trois jours, savamment entretenue ; de longs cheveux blonds qui tombaient négligemment sur ses épaules ; un léger costume en alpaga de couleur marron très clair, ouvert sur une chemise en soie, dont les trois boutons supérieurs étaient dégrafés et mettaient en évidence un haut de poitrine bien bronzé et musclé et des pectoraux de grand sportif. Une vraie image dEpinal ! Mais une image vraie, qui avait immédiatement eu comme conséquence de faire battre mon cur plus vite.
- Bonjour Najia ! Fit Horia. Cest bien Najia ? Rachid ma dit au téléphone que je te trouverai à la maison. Voici Fredy, mon mec.
Elle avait une voix légèrement rauque et harmonieuse. Une de ces voix radiophonique, qui donnait des frissons aux mâles qui lécoutaient. Je me disais que jaurais bien aimé avoir une telle voix. Elle accroitrait énormément mon sex-appeal et me permettrait de séduire nimporte quel homme, rien quen lui parlant au téléphone ! Jétais étonnée quelle qualifiât lapollon qui était avec elle par une formule aussi grivoise : mon mec ! Mais je sus très vite, quelle était comme cela : elle ne censurait jamais ses pensées et disait toujours les choses telles quelles lui venaient.
- Oui, cest bien moi ! Et toi cest Horia ! Rachid ne mavait pas averti de ta visite ! Il a dû oublier !
- Non il la fait exprès ! Il voulait te faire une surprise ! Il ma dit que je ne te trouverai pas seule. Que tu seras en compagnie dun bel homme !
- Salaud ! Il aurait aussi pu le claironner plus fort ! Faire intervenir la télévision ! Et hurler sur tous les toits : allez chez moi et vous trouverez ma femme en compagnie de son amant !
- Il ne faut pas lui en vouloir ! Il ma dit quelques mots à propos de vos expériences érotiques et jai trouvé cela très bien. Peut-être que je pourrais même en profiter ! Et en faire profiter mon Fredy ! Nest-ce pas Fredy quune aventure avec cette belle plante tenchanterait ? Je te connais mon salaud ! Je sais que ton esprit pervers est déjà entrain déchafauder des plans pour te retrouver seul avec elle. Et lui conter fleurette !
Voilà comment était Horia ! Toute en franchise et en décontraction. Il ne lui fallut pas plus dune minute pour prendre possession de lespace et de son contenu. Elle était déjà en pays conquis. Je lavais trouvée immédiatement sympathique. Rien à voir avec les belle-sur traditionnelles qui se regardaient en chien de faïence et passaient leur temps à se surveiller et médire les unes des autres. Horia faisait partie de ces personnes qui entrent immédiatement dans les curs, comme on dit dans nos contrées. De ces personnes quon accueille à bras ouverts, sans même les connaître.
Javais presque rougi à la remarque quelle avait fait à son homme à mon propos. Je venais de me rendre compte que le mec de Horia me regardait avec des yeux qui brillaient de désir (je reconnaissais maintenant très bien ce genre de regards, quavant je rencontrais souvent chez les hommes que je croisais ou avec lesquels je discutais, sans savoir vraiment ce quils signifiaient. Mais avec lexpérience acquise auprès de mes hommes, je savais maintenant lire le désir et la lubricité dans les yeux des mâles). Et puis je me suis rappelé que je nétais vêtue que dune robe dintérieur en coton fin, qui avait la particularité dêtre transparent quand il était traversé par la lumière. En fait, il sagissait dune convention non écrite entre Mouloud et moi : il minterdisait dêtre habillée quand il venait me retrouver. Il voulait avoir immédiatement accès à mon intimité. Il refusait de sescrimer avec les boutons de mes chemisiers, les agrafes de mes soutien-gorge, lélastique de mes petites culottes, ou quoi que ce soit dautre, qui fasse obstacle à sa hâte de prendre possession de moi. Depuis, je ne mettais que ce genre de djebba (robe dintérieur) et rien, absolument rien, en dessous. Mouloud, toujours pressé, se contentait den relever les pans pour tout de suite être au contact avec mon anatomie.
Fredy avait donc devant les yeux (la lumière crue du couloir était derrière moi) limage dune femme totalement nue, sous la robe. Cela expliquait et la réaction de Horia qui me traitait de belle plante et le regard lubrique de son mec. Jétais un peu gênée, mais pas trop ! Jétais ùême très fière de faire bander le beau blond. Et en plus devant sa compagne !
Je les fis entrer et leur présentai Mouloud qui était resté, dans le salon (heureusement, quil était encore habillé !). Il ne semblait pas très à son aise, mais à la vue de Horia, je le vis immédiatement se redresser et bomber le torse. Son sourire de chasseur vint sinstaller sur ses lèvres ; ses narines se mirent à palpiter comme si elles sentaient lodeur aphrodisiaque de laventure. Dévidence, elle lui plaisait et dans sa tête devaient se télescoper plein didées coquines. Javais envie dy mettre le holà - par une remarque méchante - tant cela me parut indécent. Je me retins pourtant, en pensant que javais exactement eu la même réaction en me trouvant nez-à-nez avec Fredy.
- Il est à croquer, ton petit ami ! Tu me le prêtes ? Ou je te léchange avec mon mec !
- ..
Jétais estomaquée ! Déjà ! Aussi vite ! Elle aurait pu au moins attendre quelque temps ! Une vraie croqueuse dhommes ! Je ne savais pas si jétais scandalisée, ou alors seulement étonnée que les choses aillent aussi vite. Fredy me plaisait énormément et une aventure immédiate avec lui était la bienvenue, surtout que nous navions pas eu encore le temps, Mouloud et moi, de faire lamour. Jétais encore affamée. Et puis, je pus apercevoir sur le devant du pantalon de costume du mec une énorme bosse, quil essayait maladroitement de cacher par les pans de sa veste. Wouah ! Il était vraiment entrain de bander, le cochon ! Et il semblait superbement bien membré !
/
Je métais mise à trembler comme une feuille. Je sentis brusquement ma chatte frémir et se mettre à couler ! Mon bas-ventre commençait à me faire mal. Je ne pouvais pas me voir, mais jétais sûre que mes yeux brillaient de désir et quils hurlaient à lhomme qui était là devant moi, de venir vite me tirer. Je voulais le prendre par la main et le trainer vers le grand fauteuil du salon sur lequel dailleurs jétais vautrée quelques minutes auparavant en compagnie de Mouloud qui avait commencé à mentreprendre et me mettre immédiatement en position de recevoir le monstre que je devinais entrain de palpiter dimpatience sous le tissu du pantalon. Je me retins pourtant daller vers cet extrême et me contentait dindiquer le chemin du salon au couple.
- Jai besoin de prendre une douche. La journée a été fatigante. Tu maccompagnes ?
Elle sadressait à Mouloud. Sacrée Horia ! Rien, absolument rien nest capable de larrêter ! Elle avait flashé sur lui et il le lui fallait immédiatement ! Elle ne jeta même pas un regard vers moi, pour savoir si jétais daccord quelle me chourave ainsi mon amant. Elle savait très bien que je nattendais que ça pour me retrouver seule en compagnie de son amant à elle. Mouloud jeta un regard timide vers moi, pour savoir si jétais daccord. Lui aussi avait le devant du pantalon qui faisait une énorme bosse. Lui aussi avait envie de se retrouver seul en compagnie de ma belle-sur ! Je lui fis oui de la tête et sans plus attendre, je pris la main de Fredy qui avait parqué les valises à roulette dans un coin du couloir. Il me suivit, en restant légèrement derrière moi, pour mater mon cul pendant que je me déplaçais, presque en courant, pour rejoindre le salon.
Je naccordais plus aucune attention à Horia et Mouloud qui étaient partis, main dans la main, vers la salle de bain. Mon attention était toute tournée vers le beau blond qui se tenait debout devant moi, pendant que je le délestais de sa veste. Il resta ainsi avec sa chemise entrouverte et son pantalon, dont le devant était déformé par une très forte érection. Je tendis la main pour attr le mât de tente à travers le tissu. Il était vraiment immense ! Et en plus il frémissait très fort ! Dimpatience, me dis-je !
- Warrihou-li (Montre-le moi !)
Involontairement, javais utilisé larabe pour lui demander de me montrer sa trique. Je savais quil ne comprenait pas les mots que jutilisais pour faire ma demande, mais je men fichais absolument. Dailleurs, je nattendis pas quil fasse quoi que ce soit. Ce fut moi qui moccupai de défaire la boucle de sa ceinture, de déboutonner son pantalon, douvrir le zip de sa braguette et de descendre sur ses cuisses, en une seule fois, le pantalon et le boxer. Javais maintenant sous les yeux une vraie merveille. Un zob dune immense beauté : long, gros, lisse, brillant, sans trace de poils, en dehors dune touffe soigneusement entretenue sur le pubis. Le gland était très large et pointu, et semblait être retenu à la hampe par une grosse veine qui palpitait sous mes yeux hagards. Quand aux bourses, elles étaient contractées à lextrême et semblaient avoir la dureté dune pierre ; et sur elle aussi, il ny avait pas la moindre trace de poils. Et le tout donnait une forte impression de force et de puissance. Et de
résistance ! Je me disais quun tel engin serait capable de me faire monter au ciel, plusieurs fois daffilée ! Il fallait que jen fasse lexpérience immédiatement ! Je voulais lui ordonner de me renverser sur le fauteuil et de me tirer tout de suite en puissance ! A la hussarde !
Mais je neus pas loccasion de dire quoi que ce soit. Ce fut lui, qui pour la première fois depuis quil était entré dans la maison, parla et qui, dune voix forte qui nadmettait pas de réplique, mordonna :
- Bouffe-le salope !
Je navais même pas été vexée par le qualificatif ordurier quil avait employé pour la première phrase quil avait prononcée en sadressant à moi. Je voulais tellement goûter au manche que javais sous les yeux et que je tenais maintenant dans la main droite, que jétais prête à tout entendre : salope, pute, chienne ou pire encore ! Jétais prête à être une gorge profonde ; à lavaler entièrement, même sil allait m ou me faire vomir. Même sil allait me faire très mal en me raclant la gorge et que cela mempêcherait de parler pendant des jours.
Jobéis donc à lordre quil venait de me donner et me mis à genoux devant lui. Javais maintenant le visage au même niveau que son pubis. Une magnifique odeur de mâle - très fortement aphrodisiaque (des phéromones, disait mon mari, à qui je posais un jour la question sur le parfum particulier que dégageaient les zobs de mes hommes, même après avoir pris une douche) - se dégageait de lentrejambe de mon partenaire et accroissait encore dun cran le désir déjà immense de me faire tirer comme une chienne. Je me mis donc à embrasser et à lécher le manche, en commençant par le gland pour finir par les couilles et retour. Je vis quil aimait surtout que je lui titille le gland avec la langue ; car à chaque fois, je lentendais qui gémissait très fort et siffler entre ses dents un long « ouiiii ! » de plaisir. De temps en temps jentamais un mouvement de masturbation, qui accentuaient ses gémissements, et qui me permettaient à moi de ressentir la douce chaleur que dégageait lénorme sexe qui était dans ma main.
Il ne voulut pas que les choses séternisent. Il mattrapa violemment par les cheveux, me fit relever le visage et mordonna une deuxième fois de lui faire une fellation.
- Je tai ordonné de le bouffer salope ! Quest-ce que tu attends ! Je veux te baiser par la bouche ! Je veux te défoncer la gorge ! Je veux tinonder la bouche et le visage avec mon foutre !
- Nik-ni mel foum, ya khriss ! (Nique-moi par la bouche espèce de salaud !)
Encore une fois, je madressais à lui involontairement en arabe, tout en sachant quil ne comprenait pas les mots qui sortaient de ma bouche, mais quil en saisissait parfaitement le sens. Dans les moments débats amoureux, cela mexcitait plus de parler dans ma langue ! Cétait, pour moi, beaucoup plus érotique ! Jouvris grandement la bouche et y fis entrer le gland du mec. Il avait du mal à pénétrer, tant il était large. Je voulais y aller en douceur, pour habi ma bouche, puis ma gorge à la présence du monstre. Mais lui, ne lentendait pas de cette oreille : il attrapa ma tête entre ses grandes mains et poussa fortement sur ses hanches. Le manche pénétra au plus profond de ma gorge, en raclant les parois et en me faisant un mal de chien. Immédiatement me vint lenvie de vomir. Jessayai de le faire sortir en poussant fortement sur ses cuisses.
Il me tirait violemment par les cheveux pour pouvoir maintenir son manche à lintérieur de ma gorge. Je narrivais pas à respirer. Je me sentais . Je le repoussais violemment pour lui faire comprendre que je nen pouvais plus et quil devait faire plus attention. Il ressortit son manche pour reprendre de lélan et repartir de plus belle. La seule parade que je trouvai sur le champ, cétait dattr fortement la base de son sexe et de faire de ma main un frein pour quil ne puisse pas aller trop loin. Il protesta un peu en grommelant je ne sais quoi (probablement une insulte) puis accepta de raccourcir ainsi lamplitude des va-et-vient de son manche dans ma bouche et ma gorge.
Mais même comme cela, la partie du manche qui pénétrait dans ma bouche était encore trop longue ; à chaque fois quelle pénétrait dans ma gorge, lenvie de vomir se faisait pressante. Je me retins pourtant de le faire. Quand je narrivais pas à résister, je le repoussai avec force pour quil sorte complètement de ma bouche et crachais toute la salive que javais produite en grande quantité sur le gland et la hampe qui attendaient impatiemment de repartir à lassaut de ma gorge profonde. Cela me donnait un instant de répit pour reprendre ma respiration et éloigner lenvie de vomir. Mais quand il reprenait ses allers-retours, tout recommençait. Surtout que maintenant, il partait de plus loin. Donc avec encore plus de violence.
Je ne sus pas combien de temps dura la . Jentendais Fredy qui gémissait à chaque coup de boutoir. Il accompagnait chaque gémissement dun « ouiiii ! » de plaisir retentissant. Moi javais toute la gorge en feu. Elle me faisait un mal de chien. Javais les yeux qui pleuraient et les narines qui coulaient comme une fontaine. Mais je me faisais un point dhonneur à le laisser poursuivre son uvre de destruction jusquà lapothéose finale. Celle-ci arriva brusquement. Je sentis mon homme se figer soudainement, puis pousser un énorme rugissement de plaisir, avant déjaculer en plusieurs jets tout le foutre brulant quil avait emmagasiné. Le premier jet arriva directement dans ma gorge et faillit m. Jarrivais tout de même à lavaler, avant que le deuxième rapidement suivi du troisième narrive dans ma bouche.
- Bois salope ! Avale ! Bois du bon foutre, bien épais et bien chaud ! Dis-moi que cest bon ! Que cest salé juste ce quil faut ! Dis !!!
Bien entendu, je ne pouvais absolument rien dire. Ma bouche était pleine de son immense zob qui continuait à aller et venir en elle et de tout le sperme quil éjaculait comme une fontaine. Si javais pu parler, je lui aurais avoué que jadorais le goût de son foutre. Quil avait un léger goût salé et une odeur divine. Que jen redemandais !
Quand il arrêta ses va-et-vient dans ma bouche, son manche était encore debout et vigoureux. Il navait pas débandé ! Je le regardais avec une admiration non feinte !
- Mazalou mwegaf ! Zeb ahdid ! Dekhelhouli fi sawti ! (Il bande encore ! Cest un zob en acier ! Enfonce-le dans ma chatte !)
- Quest-ce que tu dis ? Tu le veux dans ta chatte ? En levrette ? Mets-toi à quatre pattes sur le fauteuil, je vais te défoncer comme une salope ! Salope ! Tu es une salope ! Tu aimes les gros zobs comme le mien ! Dis-moi que tu aimes te faire défoncer !
Tout en mapostrophant ainsi, il me fit mettre à quatre pattes en travers du fauteuil, se mit derrière moi, releva les pans de ma djebba, frotta vigoureusement mes grandes lèvres avec deux doigts pour en tester lhumidité et me pénétra dun seul coup. Un coup brutal, qui me fit pousser un petit cri de douleur. Le salaud savait utiliser son monstre pour montrer quil était le maître ! Qil me possédait totalement. Que jétais sa chose ! Il limait en force la paroi de mon vagin, quil transforma très vite en un brasier incandescent. Un brasier douloureux, mais tellement jouissif ! Tellement délicieux ! Il allait et venait en moi avec une fougue de taureau, en occupant complètement mon tunnel, qui me semblait avoir été créé sur mesure pour lui ! A chaque aller-retour du manche, le plaisir quil me donnait augmentait dintensité. Je me sentais défaillir ; toute prête à mévanouir ! Je voyais le salon tournoyer autour de moi, avec une forte sensation de vertige.
Et puis tout sarrêta de tournoyer et je me vis entrain de sortir de mon corps et de mélever jusquau plafond. Jétais en même temps au dessous - entrain de me faire tirer à la hussarde et en levrette par un superbe amant, muni dun superbe outil - et au dessus entrain de contempler le spectacle du couple que je formais avec mon amant, et de jouir fortement de la vue de nos deux corps qui ne formaient plus quun. La Najia qui était au dessus avait une jouissance toute intellectuelle du spectacle quelle contemplait en dessous delle. Cétait un plaisir vaporeux, presquirréel. Son double, la femme du dessous, qui était à quatre pattes en travers du fauteuil, jouissait de manière beaucoup plus physique et plus vulgaire - de la force et de la puissance de lhomme et du merveilleux membre qui la possédaient. Elle adorait les vigoureux coups de boutoir de son amant, quaccompagnaient de sonores han de bucheron. Elle ressentait cette force et cette puissance dans les immenses mains qui serraient fortement sa taille en lui faisant mal - pendant que le manche allait et venait furieusement en elle. Elle voulait quil continue de pilonner sa chatte de plus en plus fort et de plus en plus vite ! Elle voulait le lui crier ! Mais rien ne sortait de sa gorge, que des gémissements de plaisir ! Elle narrivait pas à parler, ses cordes vocales ne répondaient plus ! Mais dans sa tête elle poussait lhomme qui était derrière elle à y aller encore plus en puissance ! Plus en force !
- Zid ! Zid ! Zid nik qahba ! Qahba li etmout a3la zeb kima en-ta3ek ! Zeb li yewdjaw ki yedkhoul fi souwat qahba kima ana ! Zeb en-ta3 hmar ! Zeb li y3amar-li hatchouni ! Mlih ! Mlih ! Mliiiiih ! (Encore ! Encore ! Continue de tirer la pute ! Une pute qui adore les zobs comme le tien ! Un zob qui fait mal en pénétrant dans la chatte dune pute comme moi ! Un zob dâne ! Un zob qui me remplit totalement le vagin ! Cest bon ! Cest bon ! Cest booon !)
Il nentendait rien de ce quelle disait (de ce quelle pensait en fait, puisquelle complètement aphone) et même sil avait entendu ses mots, il ne les aurait pas compris. Elle parlait en arabe. Mais, il comprit très vite en la voyant jouir comme une folle en hurlant malgré son extinction de voix un « ouiiiiiiiiiiiiiiiiii » qui lui sembla avoir duré une éternité. La jouissance quelle venait davoir avait une intensité aussi forte et intense que celles que lui avaient donné auparavant Mouloud, Mohand et même Rachid, son mari. Mais celle-là avait un goût différent. Elle narrivait pas à savoir pourquoi cette différence, ni doù elle pouvait provenir. Peut-être parce que Fredy était étranger, un non musulman ! Peut-être parce quil était le plus beau de ses amants ! Peut-être parce quils avaient baisé juste quelques minutes après avoir fait connaissance ! Elle ne sait toujours pas pourquoi, mais avec lui, le goût de ses orgasmes et de ses jouissances avaient été différents.
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En revenant sur terre, quelques minutes plus tard jétais toujours à quatre pattes avec le sexe encore vigoureux de Fredy, planté dans ma chatte je sortis progressivement de mon dédoublement de personnalité et retrouvais mes esprits. Je nétais plus cette femme qui planait au dessus du spectacle et qui en jouissait de manière presque surnaturelle. Jétais redevenue la femme de chair et de sang qui avait gardé, planté dans sa chatte, le manche encore en forme de lhomme qui venait de la tirer comme une chienne.
Jétais encore en position de levrette. Je voulais maintenant voir le sublime manche entrer en sortir de mon con ! Javais toujours adoré regarder un gros zob prendre possession de ma chatte. Jadorais, en même temps que jen ressentais la force de pénétration, de frottement et de destruction, contempler le spectacle dune belle bite qui entre au plus profond de mes viscères et qui en ressort totalement, pour repartir immédiatement à lassaut. Et chaque fois, il partait de plus loin, accroissant ainsi la sensation de force et de brutalité. Et cela me faisait défaillir de plaisir. Je lui demandais en français de me retourner et de me mettre sur le dos, pour que je puisse profiter du spectacle. Il ne se fit pas prier pour le faire.
Il me prit par lintérieur des genoux pour me faire lever les jambes et me les faire poser de part et dautre de ma poitrine et il me demanda de les maintenir dans cette position, pour que je puisse tout voir du spectacle. Lui-même resta debout entre mes cuisses devant le fauteuil, le manche juste à la bonne hauteur pour aller et venir en moi sans efforts. Et il se remit à me tirer comme une brute. Le spectacle était merveilleux ! Dun côté je ressentais physiquement la force et la brutalité du zob qui prenait possession des lieux et me donnait un plaisir difficilement descriptible. Dun autre côté, je regardais le spectacle du même zob, qui entrait et sortait de mon tunnel, à un rythme infernal, en partant à chaque fois de plus loin. Cétait divin !
Et cela dura longtemps ! Très longtemps ! Aucun de nous ne voulut que cela sarrête. Nous ne voulions même pas jouir ! Nous voulions que cela reste en létat pendant des heures ! Cétait un spectacle tellement beau ! Cétait un coït tellement bon ! Il fallait que cela dure ! Et cela dura jusquau moment où lui et moi tombâmes de fatigue : moi, parce que la position que je tenais était, au bout du temps, harassante. Et lui, il avait fini par fatiguer à force dêtre resté trop longtemps debout, et daller et venir furieusement entre mes cuisses, en soufflant comme un phoque. Ce fut lui qui le premier parla de jouir.
- Je vais venir salope ! Je vais jouir dans ta chatte ! Je vais encore te remplir de sperme ! Tu vas voir, jen ai encore des quantités à toffrir !
- Faragh, ya tehhan ! Faghar fi sawti ! 3amar-ha bezzal! 3amar-ni bezzal! En-hab ezzal! Ezzal ! Ezzalllll ! (Ejacule espèce de cocu ! Ejacule dans ma chatte ! Remplis-la de sperme ! Remplis-moi de sperme ! Jaime le sperme ! Le sperme ! Le sperme ! Le speeeerme !!!)
Et tous les deux en même temps, nous eûmes un énorme orgasme, accompagné par un long hurlement de plaisir. Lui, il baisait et jouissait dans sa langue et moi jen faisais de même dans la mienne ! Nous ne cherchions même pas à comprendre ce que lun et lautre nous disions pendant que nous baisions tels des bêtes. Lessentiel, cétait le plaisir que nous prenions. Et le plaisir savait se faire comprendre, quelle que soit la langue utilisée !
Quand tout sarrêta, Fredy sortit de ma chatte et me permit ainsi de baisser mes jambes ankylosées. Il ne bandait plus comme tout à lheure. Son monstre avait enfin perdu de sa vigueur ! Jétais fière de lavoir ainsi vaincu ! Il restait massif, mais nétait plus aussi rigide. Je le voyais qui pendouillait entre ses cuisses. Ce fut en ce moment-là que je vis, ce que je navais encore jamais vu auparavant. Le gland le magnifique gland large et pointu disparaissait petit à petit sous une capuche de peau caoutchouteuse. Au bout de très peu de temps, il avait totalement disparu. Cétait drôle ! Un zob, non circoncis ! Je nen avais encore jamais vu ! Je le pris dans ma main et me mis à le caresser. Je voulais voir ressortir le gland. Mais pour cela, il fallait que mon homme se remette à bander ! Je me comportais comme une gamine qui avait envie de jouer. Jouer à faire sortir de sa capuche le gland dun magnifique zob et de ly remettre, pour pouvoir recommencer.
Et Fredy joua le jeu. Sous mes caresses, mes baisers, mes coups de langues, il se remettait à bander assez fort pour faire sortir le rat de sa cachette. Puis, il séloignait un peu pour ne plus être à ma portée et se calmer. Il permettait ainsi à son zob de se mettre en position de repos et à son gland de retrouver sa cachette. Cela lamusait de me voir si contente de mon jeu. Cela dura ainsi jusquau retour de Mouloud et Horia qui entrèrent dans le salon, main dans la main. Ils avaient le sourire béat de personnes qui venaient de vivre des moments paradisiaques.
- I 3adjvam oubouch-iss ! Abouche boughyoul ! Dha nech-theni I hamlagh ghourass! (Il te plait son zob! Un zob dâne! Cest ça que jaime chez lui!)
Elle sétait mise à me parler dans sa langue maternelle. Je pensais que depuis le temps quelle avait quitté le pays, elle aurait oublié et le kabyle et larabe. Et bien non ! Il lui a suffi de replonger dans le bain et tout lui revenait naturellement. Elle vint sassoir à côté de nous, tout en gardant sa main dans celle de Mouloud. Elle nétait vêtue que dune veste de pyjama, trop grande pour elle (celle que Rachid, mon mari, laissait tous les matins dans la salle de bain). Mouloud aussi était très peu vêtu. Il navait gardé que sa chemise, complètement ouverte sur son magnifique torse velu, et na cachant rien de son intimité. Lui aussi avait le zob au repos. Le salaud, avait dû être rassasié par cette cochonne de Horia.
- Ton amant est un super coup ! Il est infatigable ! Je comprends que tu tiennes à lui ! Comment as-tu trouvé mon Fredy ?
- Super ! Je le garde pour moi tout le temps que vous resterez ici ! Et pas touche ! Il est pour moi seule !
- Je crois que Mouloud doit partir. Il ma dit quil ne rencontrait jamais Rachid à la maison ! Quil nattendait jamais son retour au bercail ! Cest lui qui ne veut pas ? Ou bien cest toi ? Tu ne veux pas les avoir ensemble ? A ta place, je nhésiterais pas ! Mais pas pour le moment ! Moi aussi je veux le garder un moment pour moi seule !
Mouloud partit à regret. Je sentais quil voulait rester encore un peu en compagnie de sa nouvelle conquête. Elle semblait lavoir complètement subjuguée. Elle devait baiser comme une déesse, me dis-je, avec une petite pointe de jalousie. Puis le couple Horia et Fredy partit vers la salle de bain, pour prendre une douche bien chaude et se délasser. Moi, comme à mon habitude, je restais avec mes souillures et celles de mon amant non circoncis, en attendant le retour de mon mari.
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